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Grande Loge de Côte d'Ivoire

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RITE YORK

Nous retraçons la vie du Rite York, tout d’abord sur son continent d’origine, l’Amérique du Nord, puis en France, avant de développer les spécificités ainsi que la spiritualité d’un rite méconnu et plutôt minoritaire au sein de la GLNF.


La pratique des rituels maçonniques dans les Loges américaines


Les Américains appellent  « Rite York » tout le système de grades complémentaires, ou  « side-degrees », ce qui entraine en France certaines confusions de langage entre « l’usage de rituels d’origine nord-américaine au sein des Loges Symboliques » d’une part, comme c’est le cas à la G.L.N.F., et d’autre part la pratique du système complémentaire précité.


Les Loges américaines  utilisent, quant à elle, ce qu’elles appellent « le Rituel des Maçons Anciens Francs et Acceptés » ou « des Maçons Francs et Acceptés », selon que la Grande Loge descende des Anciens ou des Modernes, ou plus simplement encore, le Rituel de la Grande Loge de New York, du Missouri, etc. Chaque Grande Loge possède un rituel « officiel », généralement déposé dans le coffre-fort du Grand Secrétaire, mais tolère des « Us & Coutumes » spécifiques à chaque Loge dès lors qu’ils ne sont pas en contradictions avec le rituel officiel. Les Grands « Lecturers » Nationaux et de Districts, qui sont des rituélistes confirmés, visitent annuellement les Loges et s’assurent que ces dernières ouvrent, ferment, et confèrent les grades de manière adéquate.


Les Loges ayant été consacrées avant la création de la Grande Loge de leur Etat peuvent garder leur rituel d’origine. Il en va de même des Loges créées avant la parution du rituel officiel, ce qui crée une mosaïque parfois surprenante pour les visiteurs. La Grande Loge de l’Etat de New York est typique de ces pratiques : la « Saint John Lodge »  No. 1 utilise un rituel très proche d’Emulation ; les officiers de la « Independant Royal Arch Lodge » No. 2 sont décorés en Maçons de la Sainte Arche Royale ; le rituel de la Loge « Union Française » No. 17, dans la langue de Molière, a intégré des éléments du Rite Français, apportés par d’anciens colons des Antilles émigrés à New York. Dans l’Etat du Missouri, une Loge est très fière de conserver l’usage, pour son Vénérable Maître, d’une toque de fourrure à la Davy Crockett en lieu et place du traditionnel haut-de-forme, afin de rappeler à tous qu’elle fut fondée par des trappeurs. N’ayant jamais eu à se cacher, la Franc-Maçonnerie américaine foisonne d’exemples pittoresques et atypiques qui font aussi sa richesse et soulignent la tolérance des Grandes Loges.


Ainsi, au sein d’un même Etat, ou d’un Etat à l’autre, le Frère visiteur reconnaitra immédiatement la trame rituelle qu’il pratique à la G.L.N.F., et dont le fonds est commun à la plupart des Loges. II retrouvera invariablement un autel central et les sièges du Vénérable Maître et des Surveillants aux endroits habituels, mais sera peut-être surpris de constater l’absence de « dogmes » quant à l’agencement des Loges, de la disposition des autres officiers, et de certains points particuliers du rituel, notamment des déplacements, surtout s’il s’agit de très anciennes Loges. Les Frères américains s’accommodent très facilement de ces différences puisque la phraséologie est quasi-semblable. Un Frère 1er Diacre d’une Loge du Wisconsin peut très facilement occuper la même fonction dans une Loge de l’American-Canadian Grand Lodge en Allemagne, pratiquant le rituel Texan, après que le Vénérable Maître lui ait expliqué en quelques minutes comment se déroulaient les déambulations. Les questions-réponses entre officiers d’origines maçonniques différentes n’altèrent en rien les cérémonies puisqu’à quelques différences mineures près dans les formulations, ce qui est demandé et répondu est tout à fait compatible. 


Depuis l'«Affaire Morgan», soi-disant ancien capitaine, et prétendument assassiné par des Francs-Maçons le 11 septembre 1826 après qu'il ait menacé de révéler « les authentiques secrets du Métier», et face aux campagnes antimaçonniques que les Loges enduraient et à la multitude de faux- Frères en possession des attouchements et mots de tous les grades, les ateliers prirent l'habitude d'ouvrir, de fermer, et de traiter toutes les affaires administratives au grade de maître. Cette tendance est toujours largement pratiquée, même si beaucoup de Grandes Loges permettent aujourd'hui l'ouverture et la fermeture des travaux au grade d’apprenti.


Sur le plan purement des rituels, les Grandes Loges ont toutes des politiques différentes. Certaines interdisent toute forme d’impression, justifiant cette décision par l’application stricte de l’Obligation solennelle que contractent les Apprentis. D’autres autorisent une impression codée où n’apparaissent que les premières lettres de chaque mot, ou de « Moniteurs ». D’autres enfin autorisent l’impression des rituels « en clair », comme la Grande Loge de Nova-Scotia, mais elles sont rarissimes.


Ces restrictions créent, et ont toujours créé des difficultés certaines dans la transmission orale des rituels, obligeant les Loges à mettre en place un système d’instruction personnalisée des Frères. Rappelons que chaque augmentation de salaire est assujettie à la présentation d’un travail sur la bonne connaissance du grade précédent, sous forme de questions-réponses. L’absence quasi-systématique de support écrit a de tout temps obligé les Loges à utiliser les services d’un « mentor » pour accompagner les jeunes Frères, ou de mettre en place des Comités d’Instruction pour leur faire apprendre leurs « preuves de compétences » (proof of proficiency).


La grande déperdition de membres, amorcée depuis les années 1960, aggravée par l’interdiction de publier les rituels, a obligé certaines Grandes Loges, comme les Loges placées sous leurs auspices, à modifier leur mode de fonctionnement. Il est maintenant devenu de plus en plus courant de voir s’organiser partout aux Etats-Unis des « one day class », où tous les candidats présentés par les Loges d’un Etat, ou de plusieurs Districts au sein d’un Etat, reçoivent ensemble les trois grades symboliques au cours d’une seule journée, conférés par une équipe de rituélistes confirmés et performants. Les Grandes Loges réfractaires au principe de la « one day class » ont organisé des « Degree Teams », au niveau National ou de District, pour aller conférer les grades dans les ateliers en difficulté.


Au niveau des Loges, la pratique du « par cœur » étant de règle pour les officiers, il est extrêmement courant de voir aussi le même principe de « Degree Team » pour chaque grade, le Vénérable Maître en chaire n’ayant au pire qu’à ouvrir, fermer, et gérer les affaires courantes de la Loge. Les augmentations de salaire sont généralement très rapides, surtout en comparaison avec les rites continentaux européens, et il est très courant pour les Maîtres d’être élevés trois mois après leur initiation, mais rappelons que durant ce laps de temps, il a reçu une instruction personnelle et consistante. 


Tout ce qui précède s’applique également aux juridictions de grades complémentaires, principalement les Grands Chapitres d’Arche Royale, les Grands Conseils Cryptiques et les Grandes Commanderies, formant l’essentiel du « Rite York », et permettant aux candidats de progresser harmonieusement. Il semble que cette appellation de « Rite York » soit destinée à donner un pendant au Rite Ecossais Ancien & Accepté.


 


Introduction du Rite York en France


Les soldats du Corps Expéditionnaire Américain (AEF), commandés par le Général John J. Pershing, entrèrent en guerre aux côtés de la France à partir du 7 avril 1917. Ils emmenèrent avec eux neuf Loges Militaires, dont certaines travaillèrent en France jusqu’à l’armistice du 11 novembre 1918, et  en Allemagne durant l’occupation. La dernière Loge Militaire, sous Patente octroyée par la Grande Loge de Virginie, cessa ses travaux en 1922.  Nous ignorons si des Frères français participèrent ou non aux travaux de ces Loges américaines,  mais il est avéré que Pershing et Joffre étaient tous deux des Maçons.


Après la guerre, en 1929, les Officiers des forces armées américaines en poste à Paris créèrent un Chapitre de « National Sojourners » sous les titres et numéro distinctif de « Paris No. 98 », toujours en activité à ce jour. Ces clubs maçonniques, créés pendant la guerre de 1898 contre l’Espagne,  étaient destinés à rassembler les Officiers et Sous-officiers Maçons épars, à la fois pour tisser un lien social entre les Frères et contourner certaines difficultés administratives, aggravées par l’éloignement et le turnover propre aux armées. En effet, et c’est toujours le cas aujourd’hui, la plupart des Grandes Loges américaines interdisaient la double appartenance, et les Frères étaient alors dans l'obligation de démissionner de leur Grande Loge d'origine, et muni d’un exeat, pouvaient alors demander leur admission dans une nouvelle Grande Loge.


Au cours de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les troupes américaines débarquent en France, à la fois dans le Sud et en Normandie, elles n’emportent pas cette fois de Loges Militaires, surement par le fait de l’existence de la Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière pour la France et ses Colonies.


Aux lendemains de la guerre, et en raison de l’adhésion de la France au Traité de l’Atlantique Nord amorcé en 1948, les troupes américaines et canadiennes des trois corps d’armée stationnées en France sont de plus en plus nombreuses, et comprennent beaucoup de Maçons désireux d’ouvrir des Loges sur leur lieu de garnison. La décision de transporter le siège du commandement général à Paris en 1952 renforce cette tendance.


Comme ils en avaient l’habitude, nos Frères américains créèrent des clubs de National Sojourners, principalement entre 1953 et 1958, dans les grandes villes de garnison comme Fontainebleau, Châteauroux, La Rochelle et Poitier, et reçurent parallèlement des Patentes de la Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière pour la France et ses Colonies.    


La plupart des Loges adoptèrent naturellement le rituel de la Grande Loge de Nouvelle-Ecosse, ou Nova-Scotia, qui avait l’avantage d’être celui de la Grande Loge de New York  imprimé « en clair » en langue anglaise. Certaines Loges utilisèrent d’autres rituels,  notamment californien et texan, retranscrits de mémoire par les officiers des Loges à partir du fonds commun de celui de Nouvelle-Ecosse. Comme le souligne à juste titre le TRF Michel Gortchakoff dans son étude du Rite York, les Loges « Lafayette No. 51 » et « Général John Pershing No. 62 », notamment, ont continué de fonctionner sans interruption avec le rituel de Nova-Scotia en anglais jusqu’en 1966. De la même manière, les Respectables Loges « Stability/Concorde No 29/42 » ont toujours travaillé en anglais, avec le rituel de la Grande Loge de Californie.


L'Espagne, alors sous dictature franquiste, interdisait la pratique de la Franc-Maçonnerie sur son territoire, et les soldats américains des bases de l'OTAN se tournèrent alors vers la G.L.N.F pour activer des Loges près de la frontière, ce qui fut notamment le cas pour Liberty No 70, crée en 1960 à Biarritz, puis déplacée sur la base aérienne de Torrejon, près de Madrid. D'autres Loges,  John J. Kestly No. 60 et George Washington No. 69 ont également fonctionné sur la base de Rota, près de Cadix. 


Après le départ des troupes de l’OTAN en 1966, la plupart des Loges « américaines » de la G.L.N.F en France, auxquelles appartenaient aussi des Frères français, ont continué de travailler à l’aide de traductions parfois approximatives des rituels pratiqués, dont celui de Nova-Scotia. Par la suite, de nouvelles Loges de la G.L.N.F décidèrent alors de pratiquer elles aussi ce rituel américain. Et citant à nouveau M. Gortchakoff : « (…) les nouveaux ateliers qui ont été créés, travaillant dans cet esprit, ont été dits également du Rite de Nova Scotia, mais du fait des adaptations à certains usages de la Grande Loge Nationale Française d'une part, et d'autre part d'improvisations rendues nécessaires par l'occultation de certains passages, par les approximations de traduction, et surtout par le manque de transmission orale dans la gestuelle (signes, saluts, déplacements, emplacements de certains symboles), par la mise en place de facto de certains usages, aucune des loges dites de Nova Scotia en France ne travaille réellement au Rite de la Grande Loge de Nova Scotia », même si l’essence, ou fonds du rituel, est bien purement américaine.


Par la suite, de nombreuses traductions différentes du même rituel originel furent dispersées par les Frères au gré de la création des Loges, et plusieurs rituels différents sont encore en service aujourd’hui. L’oralité étant la règle dans les ateliers pratiquant le système américain, tout changement de rituel est très difficile à mettre en place puisque les Frères fondateurs d’une Loge importent naturellement le rituel qu’ils connaissent par cœur dans les ateliers nouvellement créés. Ainsi il n’est pas rare de voir, dans une même Province de la G.L.N.F, des ateliers « York » utiliser des rituels différents, certes très proches dans l’esprit, mais comportant suffisamment d'écarts en termes de phraséologie, de disposition des officiers ou de déplacements, pour qu'un réapprentissage partiel soit nécessaire.


 


Pratique du Rite York à la G.L.N.F et spécificités du rituel


Les Loges pratiquant le «rite York » sont immédiatement reconnaissables à la présence d’un Autel central encadré par trois chandeliers afin de marquer l'importance du Volume de la Loi Sacrée. En effet, le «rite York » est articulé autour de la Bible qui, à la différence des autres Rites, est placée au centre physique de la Loge, spécificité que l'on retrouve dans tous les grades du système. Son ouverture et sa fermeture, ainsi que les passages d'un Livre à l'autre, selon ce que commande le rituel, font l'objet d'un cérémoniel très particulière et unique dans le paysage maçonnique. Il n'est pas rare de voir d'autres Volumes de la Loi Sacrée, comme le Coran, la Torah ou les Upanishad, ou d'autres encore, disposés sur l'Autel central des Loges York, aux côtés de la Bible.


Comme dans toutes les Loges, les Obligations solennelles se contractent sur la Bible. Toutefois, et il s'agit là d'autres spécificités du York, les déambulations se font également autour de la Bible, et les Signes du Serment, ou « Due Gard » font systématiquement référence aux positions des mains sur cette dernière. De même, de longs passages rituels rappellent aux candidats les obligations qu'ils doivent à la Bible, protection, étude des devoirs contenus, etc. Même si la coutume s'est perdue dans la plupart des ateliers de la G.L.N.F, il est toujours d'usage, dans toutes les Loges américaines, d'offrir une Bible dédicacée par tous les Frères présents aux candidats nouvellement élevés au grade de Maître Maçon.


 


Spiritualité du Rite York


Le rituel York insiste particulièrement sur la présence de la Bible dans la Loge, et donc dans la vie des Frères, en la plaçant au centre de l'atelier et au cœur même de l'engagement maçonnique. Une longue exhortation sur la Bible, unique parmi tous les rituels maçonniques, prend place immédiatement après l'Obligation solennelle du 1er grade et rappelle cette importance :


« S’il arrivait jamais que l’athée, l’infidèle, l’irréligieux ou le libertin, puisse arracher la Bible de nos Autels, (...) alors nous ne pourrions plus prétendre au noble titre de Maçons Anciens, Francs, et Acceptés. Mais tant que cette Sainte Lumière brillera sur nos Autels, tant qu’elle illuminera le chemin que suivent les Francs-Maçons des rayons dorés de la Vérité (...), la Franc-Maçonnerie pourra vivre et exercer son influence bénéfique sur l’humanité. Montez donc une garde vigilante devant ce Livre de la Loi Sacrée et Immuable, comme s’il s’agissait de votre vie même. Défendez-le comme vous défendriez le drapeau de votre pays, vivez selon ses enseignements divins, avec son assurance éternelle d’une immortalité bénie ».


Selon les grades, la Bible est ouverte à des passages différents, comme suit :


·       Psaume 133, au grade d'Apprenti


·       Amos 7, au grade Compagnon


Ecclésiaste 12, au grade de Maître Maçon.

Ce choix marque les étapes rituelles que traverse le candidat dans sa progression maçonnique et spirituelle, de la joie des Frères à se retrouver ensemble, jusqu'à la fin de l'existence. Ces passages sont également lus par le Chapelain lors des cérémonies de réception dans les trois grades.


Loin d'être morbide, le concept de la mort inéluctable du corps physique et de la vie éternelle de l'âme est annoncée clairement dès le 1er grade, lors de la remise du tablier au jeune Frère Apprenti :


« Il est désormais vôtre, à vous de le porter tout au long d’une vie honorable, et à votre mort, qu’il soit déposé dans le cercueil qui contiendra votre dépouille mortelle (...), et lorsque votre âme tremblante se tiendra seule et nue devant le grand trône blanc pour y recevoir le jugement des actes de votre vie terrestre, puisse-t-il être votre lot d’être accueilli par ces mots, de celui qui est le Juge Suprême : sois le bienvenu, bon et fidèle serviteur, entre dans la joie de ton Seigneur ».


L'omniprésence divine transparait également dans les décors des Frères et de la Loge, notamment par la présence d'un Œil-qui-voit-tout brodé ou imprimé sur la bavette des tabliers des Maîtres Maçons, et de la lettre « G » à l'Orient.


Le Frère qui conduit les candidats est un Diacre (du mot anglais « Deacon ») et non un « Expert » comme on peut en trouver dans certaines traductions approximatives. Le mot Diacre est utilisé dans son sens premier et religieux de servant d'autel, d'assistant cérémoniel et de messager de la parole divine. C'est lui en effet, qui par ordre du Vénérable Maître, ouvre en grand la porte de la Loge pour l'entrée du candidat en déclarant : « Qu’il entre, au nom du Seigneur, dans cette Respectable Loge et qu’il soit reçu selon les formes anciennes et dûment établies ».


 


Ateliers complémentaires du Rite York


Le Rite York permet un parcours initiatique harmonieux au travers de ses différents degrés, à travers la Parole, perdue en Loge, retrouvée à l'Arche Royale, préservée au Cryptique, et sublimée à l'Ordre du Temple. Voici comment est organisé le système York en France.


Les Loges symboliques confèrent les grades d(e) :


Apprenti

Compagnon

Maître Maçon

Les Chapitres d'Arche Royale confèrent les grades d(e) :


Maître de Marque

Passé Maître Virtuel

Très Excellent Maître

Maçon de l'Arche Royale

Les Conseils Cryptiques, ou Conseils de Maîtres Royaux et Choisis, confèrent les grades de :


Maître Royal

Maître Choisi

Super-Excellent Maître

Les Commanderies de l'Ordre du Temple confèrent les grades de :


Chevalier de l'Ordre Illustre de la Croix Rouge

Chevalier de l'Ordre du Temple

Chevalier de Malte

Le Chapitre de l'Ordre Souverain des Chevaliers Précepteurs (O.S.C.P) confère le grade de Chevalier Précepteur aux Commandeurs (et Précepteurs) ayant présidé une Commanderie (ou Préceptorie) de l'Ordre du Temple, en sus de celle de Précepteur Installé.

Le Prieuré K.Y.C.H (Knights of the York Cross of Honour) confère le grade de Chevalier de la Croix d'Honneur York aux Frères ayant présidé une Loge, un Chapitre d'Arche Royale, un Conseil Cryptique et une Commanderie de l'Ordre du Temple.


Notons enfin l'Ordre de la Croix Rouge de Constantin et de ses Ordres agrégés du Saint Sépulcre et de Saint Jean l'Evangéliste, qui complète harmonieusement les grades de Loge, de Chapitre, et de Conseil en leur donnant une signification chrétienne.

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